Aller au contenu principal

Psyché emportée par Zéphir

Media Name: fc5430ce2e1d918a2b2b64bea0a0b71a.png
© RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Daniel Arnaudet

Dans un tout autre esprit, le conte philosophique de Psyché – personnification de l’âme qui, déchirée entre les mondes matériel et spirituel, s’unit à l’amour divin après bien des épreuves – inclut lui aussi une histoire d’inspiration et de ravissement : tandis que la belle princesse attend la venue de son mari sur un rocher escarpé, le vent Zéphyr l’enlève et la conduit chez le dieu de l’Amour, dont il lui est interdit de connaître le visage et le nom. Eros ne lui rend visite que dans l’obscurité de la nuit.

 

C’est de l’obscurité encore – non plus physique, mais intellectuelle et tout aussi féconde – que produisent, en recourant à l’allégorie, nombre d’artistes de la Renaissance.

 

Revenir au parcours numérique